Les pépites de nos villages

Vivez votre expérience dans le Bonnevalais !

Partagé par le cours d’eau le plus connu du sud Eure-et-Loir, le territoire Bonnevalais regorge de nombreuses pépites. Entre prairies, espaces boisées, plaines beauceronnes et vallées, au détour de petites routes et chemins, les merveilles du Bonnevalais se dévoileront.

Alluyes

Au pied du Loir, subsiste une ancienne baronnerie, bordée de vestiges d’un château fort, avec son donjon et sa porte fortifiée.

Le donjon, crénelé de près de 30 mètres de hauteur date des XIIe et XIIIe siècles. Il fut conçu comme élément fort de défense mais également témoin des amours entre la reine Margot et Henri IV.

Dangeau

Située entre Beauce et Perche, Dangeau appartenait autrefois au Perche Gouët par la baronnie d’Alluyes.

Commune la plus grande et la plus étendue à l’ouest de la communauté de commune du Bonnevalais, elle est traversée d’ouest en est en son centre par l’Ozanne qui serpente dans une vallée verdoyante et qui vient embellir le très beau site du bourg de Dangeau.

Au nord de la commune, « La Foussarde », affluente du Loir est un site floristique et faunistique privilégié où l’on peut cheminer sur des sentiers balisés au cœur d’une nature luxuriante.

Montboissier

L’empreinte de Chateaubriand à Montboissier

Au XVII siècle une demeure plus ample s’éleva, qui fut détruite par un incendie.
Cette année de 1772 le château fut reconstruit à la demande de la vicomtesse de Montboissier par Nicolas Marie Potain, contrôleur des bâtiments du Roi, élève de Gabriel.

Vendu à la Révolution comme Bien National, adjugé à un architecte et à un entrepreneur, il fut en grande partie démoli.

En 1805, Edouard de Colbert, héritier des Montboissier, put racheter ce qui restait du domaine, il y reçut Chateaubriand en 1817. Ses successeurs le vendirent en 1882 à Monsieur Jeandron.

Il ne reste que deux élégants pavillons (pavillons des Roses au sud et au nord pavillon des Flores dans lequel est conservé une vue de l’ancien édifice).

Saint-Maur-sur-le-Loir

Évadez-vous le temps d’une balade au cœur d’un des méandres du Loir.

Il a creusé une longue saignée verdoyante, une oasis arborée, fraîche, ombragée qui contraste avec les plaines alentours. Le calme de cette rivière paresseuse, la douceur du climat et la beauté du paysage y ont toujours attiré les hommes. Noyés dans la végétation, les sites historiques et la rivière dialoguent et proposent des tableaux charmants, jeux de miroirs romantiques et poétiques mais toujours saisissants, à l’image des villages pittoresques qui occupent les rivages. Au creux de la vallée, le Loir et ses rives s’animent de toute une vie sauvage. Dans la rivière, gardons et chevesnes jouent avec les rayons du soleil tandis que libellules, insectes et oiseaux virevoltent parmi les iris et les roseaux.